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jeudi 25 novembre 2010

trois petits tours et puis s'en va!

Parebuffle sur mes fesses, je m'en vais, c'est imprimé
Après quelques bisouilles,vroum vroum radical!
Porte d'entrée: Berk plage, les moules, la frite!
Angers.stop.Hard voor weinig.stop.
Vroum vroum BAM!
Danse danse les montagnes
la route la route, Mauriac!
distortion du temps, exit Neurones.
sortie rurale.stop.
cuisine merveille au bout du monde
tomatoes and garlick
la route la route la route
et les camions!
Vite vite vite au-to-rou-teuh!
expedition 3000, soleil!
des paysages moribonds nous font des clins d'oeil
VACHES EN PLASTIQUE!
la route la route la route
2010 année sac à dos...
ô nuage, mirage...
Roblija de Cojos!
amer béton partout dans les toilettes
Boum! Desaffecté, squatté!
Vroum vroum
Rien me paraît tout!
Plage douche frites sable et lasagnes
Cerveza especial à Coruna
Ciel bleu et la Casa d'Atochas
L'accordéon sous le bras
MANGE TA CERVELLE!
Luxio where are you?
vroum vroum
Claudio restaurant and puppies
on the highway
palmtree and cheese
entassés, heureux!
má křídla na zádech

M u L t i P L e K s.....

in love with...





vendredi 27 août 2010

flyer concert 12 septembre, Leiden NL


12th september -  20:30
OX SCAPULA stoke-on-trent  (UK)
DJEVARA  diy punk/metal band (UK)
+ eating cafe upstairs

SUB071 @Multipleks squat  - Schuttersveld 1-3 - LEIDEN NL

jeudi 22 juillet 2010

i was a fish




Time is coming ...

Time is coming to throw away all these old nightmares

...and catch smiles

I was a fish without pants in a city without eyes to ear the sun.

I found a bike to run after cats and dreams to feed my lonely machine.


I know you're not far away and the echoes of your hearts are keeping me awake.

Bindweed climbing on my arms and these nettles wich are bitting my feet.

My animosity is swallowed by your sap.


I brandished a pancake and hope my shoes will continue the road without laces.

The Laugh is not far. In the small of your back, shadows are dancing.

You cheeks of rainbows monsters in your womb unfold,

devour gray clouds misting your embittered brain.

A great roar sounded the death knell for your black moods.


Sing a new day at the dawn of your eyes lit.

No more tears for new life.

Rainbows monsters in your womb devours gray clouds.


Time is coming...

Time is coming to throw away all these old nightmares

...and catch smiles on our faces...

mardi 18 mai 2010

Poumons

Appelle moi CHAOS
Dis moi oui ou merde, si c'est oui attends toi au pire
Appelle moi CHAOS
si c'est merde je tâcherais de m'en remettre
DANS TOUS LES SENS sans Aucune direction précise... JE m'en vais.

Je n'arrête pas d'y penser ami, à ces voies toutes tracées dans lesquelles on nous à mis!
TANT BIEN QUE MAL, TANT PIS CE SERA DE MAL EN PIS.

Appelle moi CHAOS

Tu m'ignores et nos tempêtes intérieures emportent tout sur leur passage. Mais je m'en fout. JE VIS! JE VIS!

Appelle moi CHAOS

Ignores moi, ignores moi, et je crêve de ne pouvoir complètement m'exposer...Et je m'interroge sur tes réponses, peut être oui, merde...
DES VISIONS PARADISIAQUES PLEIN LES YEUX

Appelle moi CHAOS
Trouvons nous des excuses à toujours nous retrouver dans ces vapeurs alcoolisées. ACCEPTERAIS TU DE ME SUIVRE?
JE NE SUIS PAS SÛre...

Appelle moi CHAOS

Je m'embrouille et me débrouille pour ne pas te heurter. Nous n'y croyons et nos fuites se rencontrent au delà de ces mirages colorés.

POURRAIT ON JUSTE ESSAYER? POUR DE VRAI...
Sans se tourner autour, sans faux détour
Appelle moi CHAOS

Nos épaules se frôlent.
Mon caddie n'avance plus, déchargé je l'ai laiss'au bord de la route...Renversé.
Appelle moi CHAOS

Juste TOI ET MOI et les petits tracas qui nous suivent...
Appelle moi CHAOS

Nos erreurs, nos malheurs, nos bonheurs.
Mais juste toi et moi on essaye, tant pis, tant mieux.
Appelle moi CHAOS

Pas dormi depuis des décennies.
DES POCHES VIDES ET DES RÊVES, TA MAIN DANS LA MIENNE COMME SEUL TRÉSOR.
Appelle moi CHAOS

Dis moi oui ou merde, si c'est oui attends toi au pire
Appelle moi CHAOS

Membres engourdis, des fantômes hantent nos plafonds. Si c'est merde je tâcherais de m'en remettre.

Appelle moi CHAOS
Mais je reste là, plus la force de me lever et d'allumer la lumière.

Oh JE n'arrête pas d'y penser ami! A ces voies sur lesquelles on s'engage, pas debroussaillées mais tellement belles.

Tranches de rire qu'on veut irrémédiables, je ne suis plus très raisonnable...
Appelle moi CHAOS

ET AU MILIEU JE SOMBRE...

Des herbes et des cailloux sous la plante des pieds, ca fait mal au début, mais ami qu'est ce que c'est enivrant d'être ENFIN VIVANTS!

http://www.flickr.com/photos/47267133@N02/

CrI de PouLe

C'était un monstrueux soir d'hiver que par hasard me poussait un 3ème oeil.
J'avais revêtu ma plus belle veste et une poupée à mon bras,
je pensais tout savoir de vous.
Au milieu d'un par terre d'enfants criards,
des musiques qui résonnent
J'ai trouvé ce poulailler et j'ai passé un été à bronzer sous les marroniers
Et y avait ce type qui se prenait pour le coq et qui pendait nos idées
bien haut et bien court
Je me suis perdue dans tous ces chemins que j'ai tenté et toi tu étais déjà sur les tiens bien loin
Je me suis noyée au milieu de vos festivités
Mais la belle mire c'était pas le pire et à trop marcher sur des oeufs...
des coquilles glissent sous nos ongles.

lundi 17 mai 2010

Fast arbeit babies+ Monnocle @KomaF - Koepi137 Berlin


Hier soir ont joué dnas une salle de Berlin pour moi assez mythique, surtout que j'aime beaucoup cette salle, trois groupes de copain-e-s.

Un tout nouveau petit industrial noise band, composé de trois loulous berlinois, dont deux clowns. Qui crient, tapent sur des trucs en métal, font de amplifications de tous ces sons, et que j'ai invité à joué en surprise.

Et Puis les fast arbeit de strasbourg, et monnocle de Le Mans.

Pour un premier concert organisé à Berlin, c'était une rudement chouette soirée, rien à redire. Malgré plusieurs appréhensions (dimanche soir, une salle où passe énorme de crust, HC, le köpi) , y avait juste plein de monde, une ambiance hyper géniale...

Invitée à réorganiser des concerts là bas par les gars du köpi avec qui j'ai fait ca je jure de pas me gêner et de refaire des trucs comme ca là bas dès que je suis à Berlin... Avis aux amateurs!

www.myspace.com/fastarbeitbabies
http://monnocle.free.fr/

dimanche 2 mai 2010

du rire

"Je vis dans un puits. Je vis comme une fumée dans un puits, comme un souffle dans une gorge de pierre. Je ne bouge pas. Je ne fais rien, qu'attendre. Au dessus de ma tête j'apercois les étoiles du matin. Et je vois le soleil. Parfois je chante de vieux chants de ce monde au temps de sa jeunesse. Comment dire ce que je suis quand j l'ignore! J'attends c'est tout. Je suis brume, clair de lune et souvenir. Je suis triste et je suis vieux. Parfois je tombe vers le fond comme des gouttes de pluie. Alors des toiles d'araignées tressaillent à la surface de l'eau. J'attends dans le silence glacé, un jour viendra où je n'attendrais plus."

On avance à pas feutrés dans des couloirs colorés

Un petit vent chaud qui nous astique les oreilles
J'aime l'odeur de la canelle
En ballade sur des vaisseaux fantômes
Tu t'en fout , tu t'en fout
Mais on avance... toujours
On s'est un peu égarés au milieu des rues
On a abandonné des sentiers
Ici et là bas, ils se sont fânés
On aurait pu tout croquer
mais on a pas pu résister à l'idée
et on s'est assis au milieu des usines
des immeubles et des machines
On a beau souffrir de nos rêves
l'odeur des cuisines reste notre trêve
Tu sors un drapeau qu'on brûle en riant
On se noie au milieu de nos passions
Des tripes qui débordent
et le trottoir illuminé nous interpelle
J'aime l'odeur de la canelle
Dis moi si les oiseaux ont toujours des ailes
ou sont elles aussi tombées au milieu de nos corps étendus
Détendue je me promène, jette ma chemise
On éclate de rire, et puis après tout
Tu t'en fout , tu t'en fout
Mais on avance... toujours
Et puis oui ca se mange! Chaque jour un peu plus.
Quand on y goûte ca s'appelle du soleil,
et quand la nuit tombe on s'endort en y revant.
J'aime l'odeur de la canelle:
Toujours un peu plus...
Et puis il y a toujours aussi la même musique qui crêpite,
et on a pas envie que ca s'arrête.
Tu t'en fout, tu t'en fout, mais on avance toujours...
En ballade sur des vaisseaux fantomes,
On avance à pas feutrés dans des couloirs colorés,
Des traces de rire partout sur le sol,
on glisse dessus et on s'arrête plus de sourire.
On a beau être dedans jusqu'au cou, nos éclats ont de l'écho...
On avance à pas feutrés dans des couloirs colorés,
un petit vent chaud nous astique les oreilles...
J'aime l'odeur de la canelle...

"Je vis dans un puits. Je vis comme une fumée dans un puits, comme une haleine dans une gorge de pierre. Je ne bouge pas. Je ne fais rien, qu'attendre. Là haut j'apercois les étoiles froides de la nuit et celles du matin, j'apercois aussi le soleil. Et parfois je chante de vieux chants de ce monde au temps de sa jeunesse. Comment dire ce que je suis quand moi même je l'ignore? (quand tu l'ignores, quand nous l'ignorons tous...). J'attends c'est tout."


avec deux extraits en début et fin tirés d'une nouvelle "celui qui attend" dans "les machines a bonheur" de R.Bradbury.

lundi 22 mars 2010

Le jardin d'enfants

Le temps est lourd et humide, haut perché regardant le ciel sombre, des yeux enfoncés et le visage du temps.
Respire fort et inhale les vapeurs toxiques de cette grouillante animosité.
J'étale mes humeurs sur du vieux papier mouillé par des pluies incessantes.
Sur le toit on entend les cliquetis de pattes d'oiseaux qui jouent à qui volera le plus haut.

Les radis poussent mais les poules en ont mangé les feuilles tendres. Semé des fleurs aussi que je ne verrais peut être pas pousser. Je me lynche seule de mes idiotes défaillances.

Toujours petite qui regarde le plafond et se demande quand il lui tombera sur la tête. Tranquilité noire sur une chaise en bois, des oreilles qui se dressent aux pas résonnant d'un géant humanoide, fait vibrer tout le plancher...

Sur le carrelage froid, des traînées noires des dernières soirées. Une bite sur un mur...

Et mon coeur qui bat toujours aussi fort. Parfois je me perds et les fantômes apparaissent, ombres qui nagent dans l'ambiance feutrée. Enfants qui rient et je vois ton visage qui se dessine dans une flaque d'eau dans la cour.

Tu arrondis le dos á mes caresses, et avec toi on parle de tout et de rien autour d'un café. La maison est calme et ca fait du bien.

Caméra indiscrète qui se promène et me gêne, je ne sais pas trop quoi en penser. Des malades imaginaires se balladent sur des sentiers qu'ils pensent vierges.
Ont ils aucune idée des germes qui poussent par ici?

J'ouvre ma gueule et on me la referme parfois à coup de pioche.

LA - XA - TI - F!

Au milieu des fous


Le joli môme au chapeau, qui se promène au gré des rues
La Terre avec Toi et le vent qui te soulève
Pas besoin de grand chose pour deviner comme tu te laisses emporter
J'aimerais rester avec toi au fond d'un terrier chaud
Un qu'on se creuserait au Paradis des perdus.

Et ta fille qui nous sourit!
Nez en l'air, elle hume nos sentiments qui s'envolent.
Accrochée à la flêche de cette cathédrale,
La bannière de notre Anarchie flotte et nargue les passants.

On se joue de ceux et celles qui marchent là,
nous jugeant rats d'égoût.
On se fout de tout du moment que le vent est à Nous!

Et nos doigts entremêlés qui caressent la Vie.
Je t'ai vu, apercu, perdu, retrouvé plusieurs fois
et c'est comme si j'étais un peu à toi et ces pavés que tu sillonnes.

Je n'ai plus envie de me fixer une quelconque limite,
Et je cours après Gaia la Reine...
Rires perdus, éclats qui volent,
C'est sûr que rien ne nous retiens plus!

vendredi 19 mars 2010

Berlin, le Bödi9, expulsion, police.

Et voilà après pas mal de temps je reviens sur ce petit blog le temps d'une brève. Alors je vous balance juste un petit lien sur ce qui s'est passé mardi là où j'habite à Berlin.
Je prendrais le temps de fournir un peu plus d'informations plus tard, et de me poser pour raconter et mettre en ligne des images d'autres aventures qui ne me concerne pas seulement.

http://www.youtube.com/watch?v=s-slPRqY5_Y

Bödi bleibt!

On est le 22 mars et je complète un peu ce post. En fait à Berlin je crêche dans un Hausprojekt, qui fut il y a pas mal d'années l'un de ces squatts qu'on pouvait trouver dans Berlin.
Aujourd'hui Hausprojekt veut dire que l'on vit en communauté, partageant les cuisines, sdb, ....etc un peu comme une grosse coloc. Chaque appartement de l'immeuble est divisé en plusieurs
chambres louées à très bas prix et dispose d'un contrat. ( C'est pas dans tous les hausprojekt pareil au niveau des contrats.)
Au rez de chaussée, il y avait un appartement encore squatté et qui servait de local pour organiser des workshops, des cinémas, des vokü (cuisines collectives)... C'est ce local qui a fait l'objet d'une expulsion.
Nous avons donc pendant une semaine d'actions protesté contre cette éviction, et le jour dit de l'expulsion le 16 mars, nous nous sommes tous réunis pour faire face aux forces du désordre qui étaient là pour nous arracher une petite partie de nous mêmes. Ce qu'on peut voir dans cette vidéo un peu plus au dessus c'est donc une partie de ce qui s'est passé Mardi 16 mars.

Avec les clowns nous avons tenus environ 5h à faire du bruit et des pieds de nez aux flics.

La grosse blague aussi dans tout ca, c'est que le proprio avait dit aux flics que le local était sur la gauche en rentrant. Sauf que les flics finalement sont passés par l'autre côté de l'immeuble par une autre porte, et sont quand meme allés à gauche...... chez le voisin... Donc ils ont braqué illégalement l'appart en face.

voilà pour un premier résumé.
Encore plus de nouvelles plus tard...